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samedi 4 mai 2019

Les rencontres du mois de mai 2019


Jeudi 09 mai 2019 à 18h
Rencontre avec
Annelise Heurtier
autour de son livre
La fille d’Avril
(éditions Casterman Jeunesse)


Comme pour la plupart des jeunes filles dans les années 1960, l’avenir de Catherine est tout tracé : se marier, avoir des enfants, puis s’en occuper le plus clair de son temps. Un jour, elle est contrainte de rentrer du collège en courant. C’est une révélation : quel sentiment de force, de liberté ! Mais courir, surtout pour une femme, est une chose alors impensable. Pourtant Catherine s’interroge, rêve d’une vie différente, s’entête… Jusqu’où sa détermination la mènera-t-elle ? À travers le parcours d’une adolescente déterminée, une plongée fascinante dans les années 60.

Annelise Heurtier est née en 1979 dans la région lyonnaise. Elle écrit pour des publics variés, des premières lectures jusqu’aux romans pour adolescents. Souvent inspirés de faits réels, ses textes sont autant de prétextes au voyage et à la découverte de cultures, de parcours de vies singuliers.


Mercredi 22 mai 2019 à 19h
Rencontre avec
Vincent Bernière
éditeur de la revue
Les Cahiers de la BD
autour de la question
Le roman graphique est-il à la mode ?




Les Cahiers de la BD sont nés en 1969, à l'initiative d'un adolescent d'une quinzaine d'année, un certain Jacques Glénat. Le magazine à l'époque intitulé Schtroumpf relevait davantage du fanzine. Il s'est par la suite étoffé, est devenu Schtroumpf : les Cahiers de la bande dessinée, puis fut renommé Les Cahiers de la bande dessinée en 1984. A cette époque, Thierry Groensteen reprend la rédaction en chef du magazine. En 1988, c'est Numa Saoul qui en reprend le flambeau. La revue paraît jusqu'en 1990 et s'endort... jusqu'à aujourd'hui !

Vincent Bernière est éditeur de la revue Les Cahiers de la BD, publication emblématique du 9ème art, qu'il a relancé en 2017. Il viendra nous parler du roman graphique.
Will Eisner en a inventé le vocable, Art Spiegelman l'a éditorialisé et Marjane Satrapi popularisé. Le "graphic novel" a envahi les étals des librairies, de New York à Londres en passant par Paris, renouvelant pour un temps le lectorat de la bande dessinée. Mais quelle acception recouvre-t-il exactement ? Le roman graphique : fausse bonne idée, produit marketing ou vrai objet littéraire ?

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