Jeudi 18 octobre 2018 à 19h
Rencontre avec
Zeina Abirached
pour la parution de sa
nouvelle bande dessinée
Prendre refuge
Entre
Bamyan et Berlin, hier et aujourd’hui, l’amour comme la plus belle des
aventures.
1939,
Afghanistan. Autour d’un feu de camp, aux pieds des Bouddhas de Bâmiyân, une
voyageuse européenne, Anne-Marie Schwarzenbach, tombe amoureuse d’une
archéologue. Cette nuit-là, les deux femmes l’apprennent par la radio, la
Seconde Guerre mondiale éclate.
2016, Berlin. Karsten, jeune Allemand qui se passionne pour l’Orient rencontre Nayla, une réfugiée syrienne, dont il s’éprend, malgré leurs différences.
2016, Berlin. Karsten, jeune Allemand qui se passionne pour l’Orient rencontre Nayla, une réfugiée syrienne, dont il s’éprend, malgré leurs différences.
A
travers ces deux récits entremêlés, deux histoires d’amour atypiques, comme un
écho à deux époques complexes, se tissent au fil des pages. Alliant les
contraires, rapprochant des êtres qui n’auraient jamais dû se croiser, l’album
propose une réflexion sur la difficulté d’aimer aujourd’hui comme hier.
Née
à Beyrouth en 1981, Zeina Abirached
a fait des études de graphisme au Liban puis à l’École Nationale des Arts
Décoratifs à Paris et depuis, partage son temps entre la bande-dessinée et
l'illustration.
Après [Beyrouth] Catharsis et 38 rue Youssef Semaani, son roman graphique Mourir partir revenir, le jeu des hirondelles connait un large succès public et critique (sélection officielle d’Angoulême 2008, traduit en douze langues) suivi de près par Je me souviens Beyrouth, Mouton, et Agatha de Beyrouth (une collaboration avec le poète OuLiPien Jacques Jouet).
Elle
est l’auteure du Piano oriental
(Casterman 2015), un récit inspiré de la vie de son ancêtre, inventeur d’un
nouvel instrument de musique dans le Beyrouth des années 60.Après [Beyrouth] Catharsis et 38 rue Youssef Semaani, son roman graphique Mourir partir revenir, le jeu des hirondelles connait un large succès public et critique (sélection officielle d’Angoulême 2008, traduit en douze langues) suivi de près par Je me souviens Beyrouth, Mouton, et Agatha de Beyrouth (une collaboration avec le poète OuLiPien Jacques Jouet).
Elle collabore régulièrement avec la presse et différents éditeurs en tant qu’illustratrice.
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