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samedi 30 mars 2019


Le retour à la terre

tome 6 : les métamorphoses

Manu Larcenet et Jean-Yves Ferri

éditions Dargaud


 

Dix ans que nous n’avions plus de nouvelles de Larssinet et Mariette aux Ravenelles. Ils n’ont toujours pas déballés leurs cartons, Speed a eu des chatons qui trainent partout et Mme Mortemont s’est mise aux réseaux sociaux !
 Ce sixième volume du retour à la terre est une réussite ainsi qu'un grand plaisir de lecture.

mercredi 27 mars 2019

Jeudi 28 mars 2019 à 19h
Rencontre avec
Alexis Jenni
autour de son livre
Prendre la parole
(éditions du Sonneur)

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Dans le cadre du "Parcours des librairies" du Festival Raccords, la Librairie L'Usage du Monde accueille les Éditions du sonneur et invite Martine Laval à présenter la collection qu'elle dirige « Ce que la vie signifie pour moi », avec Alexis Jenni, dont le texte Prendre la parole, vient de paraître dans la collection.

Récit d’un apprentissage, d’un dépassement de soi ou hymne aux mots, et donc à la littérature ? Évidemment, le tout ensemble, intimement et magnifiquement lié. Pour la première fois, Alexis Jenni dit avec une sincérité émouvante ce que la vie signifie pour lui : oser apprivoiser la parole lui, qui enfant, « fut muet, puis bègue, puis embarrassé ». Le romancier et essayiste se donne tout entier à un jeu de cache-cache avec lui-même, dans une recherche non pas de la vérité mais de sa vérité.
Dans une belle énergie, avec l’art de mettre en littérature les émotions les plus infimes, il fouille, creuse, se remémore, s’interroge, appelle d’autres à la rescousse, Camille Desmoulins, Sebastião Salgado, Alain Cuny ; aussi quelques écrivains, Denis Diderot, Valère Novarina, Marcel Proust.
Il raconte la solitude, la honte, la douleur physique, le rouge aux joues et le souffle trop court jusqu’à l’étouffement. Il raconte l’inquiétude sinon l’angoisse de prendre la parole, de prendre place dans le monde des humains. Alexis Jenni lutte contre le silence et s’arme de désir : « L’écriture est la revanche des muets, des bègues et des maladroits ». L’écriture, pour lui synonyme de patience et de labeur, nait de la parole vivante. Elle est une vie commune, un partage.

Alexis Jenni est né en 1963 à Lyon, où il a enseigné les sciences de la vie et de la terre. Son premier roman, L’Art français de la guerre (Gallimard), a été couronné par le prix Goncourt en 2011. Romancier et essayiste, il poursuit une œuvre dans laquelle imaginaire et pensée se nourrissent l’un de l’autre.

La 6e édition du Festival Raccord(s) aura lieu à Paris et en Île-de-France de mars à mai 2019 avec un temps fort du mercredi 10 au dimanche 14 avril 2019.
Né à l’initiative des Éditeurs associés et organisé en partenariat avec une quinzaine d'éditeurs indépendants, le festival Raccord(s) fête le livre et invite le public à découvrir les ouvrages sous un angle singulier dans les librairies, bibliothèques, musées, jardins, centres culturels, cafés, restaurants, ateliers, salles de cinéma, de théâtre, de spectacle, etc.
Mêlant toutes les littératures aux sciences, à la photographie, à la comédie musicale, à l’art culinaire, à l’histoire de l’art, aux questions sociales, à la composition musicale… le festival ne s’interdit rien, décloisonne les disciplines et les savoirs, pour regarder et entendre les œuvres autrement.

jeudi 21 mars 2019

Dédicace avec Kyan Khojandi

                                                  VENDREDI 22 MARS 2019 de 18h à 20h
 
Rencontre avec Kyan Khojandi qui dédicacera Pulsions, spectacle graphique illustré par Boulet aux éditions Éditions Albin Michel.


Le livre :
Dans « bref. », j’ai mis mes doutes, mes angoisses et mes fantasmes. On en a ri ensemble. Ça m’a fait gagner quatre ans de psychanalyse. 
Quatre ans après, on en a parlé dans un spectacle, sept ans après on en a fait un livre.

L'auteur :
Kyan Khojandi est né en 1982 à Reims d’un père iranien et d’une mère française. Humoriste, acteur, scénariste et réalisateur, il se fait connaître du grand public avec sa série bref. créée avec Bruno Muschio dit Navo. Suite à ce succès, il crée Bloqués avec Orelsan et Gringe puis Serge le Mytho avec Jonathan Cohen. Il apparaît également au cinéma dans Casse-tête Chinois de Cédric Klapisch, Rosalie Blum de Julien Rappeneau et récemment dans Au revoir là-haut d’Albert Dupontel. En 2016 il créé Pulsions son nouveau stand-up pour lequel il a réalisé plus de deux cents dates. Diplômé des Arts décoratifs de Strasbourg, Boulet intègre le magazine Tchô au début des années 2000. Il est notamment l’auteur de la série Raghnarok (Glénat), et des Notes (Delcourt) inspirées de son blog. En 2012, il scénarise La Page blanche (Delcourt) avec Pénélope Bagieu au dessin. Il vient de publier Bolchoi arena aux éditions Delcourt avec Aseyn.

vendredi 15 mars 2019


 La lecture d'extraits du récit 

de Nicolas Bouvier

L'Usage du Monde 

c'est ce soir, à 20h, à la librairie.


Choix de textes et lecture par Valérie Salmon, Cécile de Verneuil, Claudie Delpey, Jean-Louis Esclapès (compagnie Tuttiponk).


Le livre :
À l’été 1953, un jeune homme de 24 ans, fils de bonne famille calviniste, quitte Genève et son université, où il suit des cours de sanscrit, d’histoire médiévale puis de droit, à bord de sa Fiat Topolino. Nicolas Bouvier a déjà effectué de courts voyages ou des séjours plus longs en Bourgogne, en Finlande, en Algérie, en Espagne, puis en Yougoslavie, via l’Italie et la Grèce. Cette fois, il vise plus loin : la Turquie, l’Iran, Kaboul puis la frontière avec l’Inde. Il est accompagné de son ami Thierry Vernet, qui documentera l’expédition en dessins et croquis.
Ces six mois de voyage à travers les Balkans, l’Anatolie, l’Iran puis l’Afghanistan donneront naissance à l’un des grands chefs-d’œuvre de la littérature dite « de voyage », L’Usage du monde, qui ne sera publié que dix ans plus tard – et à compte d’auteur la première fois – avant de devenir un classique.
Par son écriture serrée, économe de ses effets et ne jouant pas à la « littérature », Nicolas Bouvier a réussi à atteindre ce à quoi peu sont parvenus : un pur récit de voyage, dans la grande tradition de la découverte et de l’émerveillement, en même temps qu’une réflexion éthique et morale sur une manière d’être au monde parmi ses contemporains, sous toutes les latitudes.

 

 

samedi 9 mars 2019


Ce que savait la nuit de Arnaldur Indriðason, Editions Métailié

 

Un corps a été recraché par le glacier Langjökull en Islande. Il s’agit de celui d’un homme disparu depuis trente ans. Konrad avait enquêté sur cette affaire mais n’avait pas réussi à trouver le coupable.
Aujourd’hui à la retraite, il ne peut s’empêcher de replonger dans cette histoire qui le ronge depuis des années.
Qui a menti ? Qui a été manipulé ? Konrad a-t-il été à la hauteur ? Une enquête captivante.





Lamia de Rayco Pulido,

Editions Rackham


 Barcelone, 1943.
Eulalia Pilar partage son temps entre son travail ( elle répond aux courriers des femmes éplorées qui cherchent des conseils conjugaux ) et la recherche de son mari, disparu depuis plusieurs semaines alors qu'elle doit accoucher bientôt.
Rayco Putido brouille les pistes et l'on est saisi par autant de maîtrise graphique et narrative.


vendredi 8 mars 2019

Le mois de mars aux couleurs de L'Usage du monde


Vendredi 15 mars 2019 à 20h
Lecture de L’Usage du monde
De Belgrade (juillet 1953) à Tabriz (Juin 1954)
par
Valérie Salmon, Cécile de Verneuil,
Claudie Delpey, Jean-Louis Esclapès
(compagnie Tuttiponk)


L’Usage du monde de Nicolas Bouvier :
À l’été 1953, un jeune homme de 24 ans, fils de bonne famille calviniste, quitte Genève et son université, où il suit des cours de sanscrit, d’histoire médiévale puis de droit, à bord de sa Fiat Topolino. Nicolas Bouvier a déjà effectué de courts voyages ou des séjours plus longs en Bourgogne, en Finlande, en Algérie, en Espagne, puis en Yougoslavie, via l’Italie et la Grèce. Cette fois, il vise plus loin : la Turquie, l’Iran, Kaboul puis la frontière avec l’Inde. Il est accompagné de son ami Thierry Vernet, qui documentera l’expédition en dessins et croquis.
Ces six mois de voyage à travers les Balkans, l’Anatolie, l’Iran puis l’Afghanistan donneront naissance à l’un des grands chefs-d’œuvre de la littérature dite « de voyage », L’Usage du monde, qui ne sera publié que dix ans plus tard – et à compte d’auteur la première fois – avant de devenir un classique.
Par son écriture serrée, économe de ses effets et ne jouant pas à la « littérature », Nicolas Bouvier a réussi à atteindre ce à quoi peu sont parvenus : un pur récit de voyage, dans la grande tradition de la découverte et de l’émerveillement, en même temps qu’une réflexion éthique et morale sur une manière d’être au monde parmi ses contemporains, sous toutes les latitudes.

La compagnie Tuttiponk :
Après deux spectacles de lecture de poésies et de nouvelles la compagnie Tuttiponk s’est intéressée à un genre nouveau, le récit de voyage.
L'Usage du monde de Nicolas Bouvier les a conquis par sa fraîcheur et sa modernité. Le regard curieux, humaniste et souvent plein d'humour des deux voyageurs, leur approche singulière des pays du Proche-Orient dans les années cinquante les ont inspirés. Après plusieurs mois de travail, il est temps pour eux de partager cette lecture...



Jeudi 28 mars 2019 à 19h
Rencontre avec
Alexis Jenni
autour de son livre
Prendre la parole
(éditions du Sonneur)


Dans le cadre du "Parcours des librairies" du Festival Raccords, la Librairie L'Usage du Monde accueille les Éditions du sonneur et invite Martine Laval à présenter la collection qu'elle dirige « Ce que la vie signifie pour moi », avec Alexis Jenni, dont le texte Prendre la parole, vient de paraître dans la collection.

Récit d’un apprentissage, d’un dépassement de soi ou hymne aux mots, et donc à la littérature ? Évidemment, le tout ensemble, intimement et magnifiquement lié. Pour la première fois, Alexis Jenni dit avec une sincérité émouvante ce que la vie signifie pour lui : oser apprivoiser la parole lui, qui enfant, « fut muet, puis bègue, puis embarrassé ». Le romancier et essayiste se donne tout entier à un jeu de cache-cache avec lui-même, dans une recherche non pas de la vérité mais de sa vérité.
Dans une belle énergie, avec l’art de mettre en littérature les émotions les plus infimes, il fouille, creuse, se remémore, s’interroge, appelle d’autres à la rescousse, Camille Desmoulins, Sebastião Salgado, Alain Cuny ; aussi quelques écrivains, Denis Diderot, Valère Novarina, Marcel Proust.
Il raconte la solitude, la honte, la douleur physique, le rouge aux joues et le souffle trop court jusqu’à l’étouffement. Il raconte l’inquiétude sinon l’angoisse de prendre la parole, de prendre place dans le monde des humains. Alexis Jenni lutte contre le silence et s’arme de désir : « L’écriture est la revanche des muets, des bègues et des maladroits ». L’écriture, pour lui synonyme de patience et de labeur, nait de la parole vivante. Elle est une vie commune, un partage.

Alexis Jenni est né en 1963 à Lyon, où il a enseigné les sciences de la vie et de la terre. Son premier roman, L’Art français de la guerre (Gallimard), a été couronné par le prix Goncourt en 2011. Romancier et essayiste, il poursuit une œuvre dans laquelle imaginaire et pensée se nourrissent l’un de l’autre.

La 6e édition du Festival Raccord(s) aura lieu à Paris et en Île-de-France de mars à mai 2019 avec un temps fort du mercredi 10 au dimanche 14 avril 2019.
Né à l’initiative des Éditeurs associés et organisé en partenariat avec une quinzaine d'éditeurs indépendants, le festival Raccord(s) fête le livre et invite le public à découvrir les ouvrages sous un angle singulier dans les librairies, bibliothèques, musées, jardins, centres culturels, cafés, restaurants, ateliers, salles de cinéma, de théâtre, de spectacle, etc.
Mêlant toutes les littératures aux sciences, à la photographie, à la comédie musicale, à l’art culinaire, à l’histoire de l’art, aux questions sociales, à la composition musicale… le festival ne s’interdit rien, décloisonne les disciplines et les savoirs, pour regarder et entendre les œuvres autrement.


 
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L’illustration de Thierry Vernet fait référence à l’édition originale de L’Usage du monde publiée en 1963 aux éditions Droz.
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Librairie L’Usage du monde
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